13 octobre 2025
Des scientifiques texans sur le point de faire éclore des dodos dans des œufs de poule : la science-fiction devient réalité !

Des scientifiques texans sur le point de faire éclore des dodos dans des œufs de poule : la science-fiction devient réalité !

Salut les amateurs d’histoires incroyables ! Léa ici, et aujourd’hui je vous apporte une nouvelle qui va vous faire tomber de votre chaise. Vous vous souvenez du dodo, ce gros oiseau pataud qui ne savait pas voler et qui a disparu de l’île Maurice il y a plus de 300 ans ? Eh bien, accrochez-vous : des scientifiques américains viennent de franchir une étape cruciale pour le ressusciter ! 🦤

Je sais, je sais, ça sonne comme du pur Jurassic Park, mais cette fois c’est du sérieux. L’entreprise texane Colossal Biosciences (qui a déjà levé la bagatelle de 555 millions de dollars !) vient d’annoncer qu’elle avait réussi à cultiver des cellules germinales de pigeon en laboratoire. "Et alors ?" me direz-vous. Eh bien, c’est LA percée qu’il fallait pour pouvoir bricoler génétiquement nos amis à plumes !

Le pigeon, héros inattendu de cette aventure rocambolesque

Jusqu’à présent, on ne savait faire ce genre de manipulation qu’avec les poules et les oies. Mais maintenant que l’équipe de Colossal a trouvé la recette magique pour les pigeons (après avoir testé plus de 300 combinaisons différentes, rien que ça !), la voie est ouverte pour recréer notre cher dodo disparu.

Leur plan ? Prendre le pigeon de Nicobar – le cousin vivant le plus proche du dodo qui vit en Asie du Sud-Est – modifier ses gènes pour lui redonner les caractéristiques du dodo, et hop ! Faire naître des "quasi-dodos" via des poules porteuses. Oui, vous avez bien lu : des poules qui pondront des œufs de dodo ! 🥚

💡 Info Box : Les cellules germinales primordiales (PGCs) sont les cellules qui deviendront plus tard les spermatozoïdes ou les ovules. En les modifiant génétiquement, on peut théoriquement créer des descendants avec les traits désirés.

Un processus plus complexe qu’il n’y paraît

Bon, avant de vous emballer et d’aller réserver votre place au zoo pour voir les premiers dodos, tempérons un peu. Beth Shapiro, la directrice scientifique de Colossal, explique que cette percée était "l’étape bloquante" du projet. Maintenant qu’elle est franchie, ils peuvent enfin passer aux choses sérieuses.

Mais attention, ce ne sera pas du jour au lendemain ! Le processus complet prendra encore 5 à 7 ans selon Ben Lamm, le PDG de l’entreprise. Et comme on ne peut pas cloner les oiseaux comme les mammifères (à cause de la structure de leurs œufs), il faut créer deux générations : d’abord les parents modifiés séparément, puis les faire se reproduire pour obtenir un oiseau avec toutes les modifications.

Les étapes du projet dodo :

  • ✅ Cultiver les cellules germinales de pigeon (FAIT !)
  • 🔄 Modifier génétiquement ces cellules avec l’ADN du dodo
  • 🐔 Injecter ces cellules dans des embryons de poule
  • 🥚 Faire pondre les premières générations
  • 🦤 Croiser les descendants pour obtenir un "dodo 2.0"

Maurice se prépare déjà au grand retour

Ce qui est fascinant, c’est que l’île Maurice – le berceau originel du dodo – prend déjà ce projet au sérieux ! Colossal a même créé un "Comité consultatif mauricien du dodo" avec des experts locaux pour préparer un programme de réintroduction dans la nature.

Dr. Devina Lobine, qui dirige ce comité, a déclaré avec émotion : "Ce voyage est plus qu’une simple résurrection d’espèce disparue – c’est honorer l’héritage unique de notre île." Franchement, ça me donne des frissons !

Les critiques ne se font pas attendre

Évidemment, tout le monde n’est pas convaincu par cette aventure digne de BuzzDuSiecle.com. Les sceptiques rappellent qu’on ne peut pas vraiment "ressusciter" une espèce éteinte, mais seulement créer un animal génétiquement modifié qui lui ressemble. Scott MacDougall-Shackleton de l’Université Western Ontario souligne que les animaux, c’est bien plus qu’un simple assemblage de gènes.

📌 À retenir : Ce ne sera jamais le "vrai" dodo, mais plutôt un hybride génétiquement modifié qui lui ressemblera. Les comportements, les instincts, tout ça ne peut pas être reproduit à l’identique.

Un catalogue de la dé-extinction version XXL

Et ce n’est que le début ! Colossal ne s’arrête pas au dodo. Ils travaillent aussi sur la résurrection des mammouths laineux, des tigres de Tasmanie, et même des loups terribles. Avec leur dernière levée de fonds de 120 millions de dollars supplémentaires, ils ont les moyens de leurs ambitions pharaoniques.

Bon, même si ce ne sera jamais exactement le dodo de nos livres d’histoire, l’idée qu’on puisse un jour voir un gros oiseau pataud se balader dans un parc reste assez dingue. Et puis, les techniques développées pourraient servir à sauver des espèces d’oiseaux actuellement en voie de disparition, ce qui serait déjà formidable.

Dans quelques années, on aura peut-être des simili-dodos qui se promèneront en liberté dans des réserves mauriciennes. En attendant, cette histoire nous rappelle à quel point la science peut parfois dépasser la fiction !

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