par Ah, les amis, laissez-moi vous raconter l’histoire croustillante qui agite actuellement les rues d’Uji, une charmante ville près de Kyoto. C’est là que Nintendo a inauguré son tout nouveau musée en octobre dernier, un temple du jeu vidéo qui fait rêver les gamers du monde entier. Mais voilà qu’un petit malin a eu l’idée… disons… audacieuse d’ouvrir un restaurant pirate juste à côté. Et quand je dis "pirate", je ne parle pas de Jack Sparrow !
Quand Mario rencontre la contrefaçon
Comme nous l’explique en exclusivité pour BuzzDuSiecle.com un habitué du quartier, ce restaurant s’est mis à proposer des plats aux noms plus que douteux : le "Super Mari-Oden" (une soupe japonaise), le "Donkey Tonkatsu" (une escalope panée) ou encore le "Pikm’in Ramen". Vous voyez le tableau ? Même les serveurs portaient des casquettes rouges avec un grand "M" dessus. Subtil, n’est-ce pas ?
Nintendo n’est pas du genre à rigoler
Si vous connaissez un peu Nintendo, vous savez que la firme de Kyoto protège ses licences comme un Bowser garde sa princesse. Et elle a de quoi ! Depuis l’ouverture de son musée ultramoderne à Uji (accessible depuis la gare d’Ogura, pour les curieux), la marque attire des milliers de visiteurs venus admirer l’histoire de l’entreprise et ses trésors, des cartes Hanafuda traditionnelles aux dernières consoles.
Les précédents qui font mal
Ce n’est pas la première fois que Nintendo sort ses griffes pour protéger ses droits. Souvenez-vous de l’affaire MariCar en février 2024, ces karts dans les rues de Tokyo où les conducteurs étaient déguisés en personnages Nintendo. Résultat ? Une belle action en justice qui s’est terminée comme une partie de Mario Kart… avec quelqu’un qui finit dans le décor !
La chute était prévisible
Notre petit restaurant pirate a rapidement dû faire face à la réalité : Nintendo venait justement de déposer en octobre 2024 plusieurs marques dans le domaine de la restauration pour des concepts autour d’Animal Crossing, Splatoon et autres licences phares. Autant dire que notre ami restaurateur s’est retrouvé aussi mal à l’aise qu’un Yoshi sur une piste de F1.
Le coup de grâce
Le plus ironique dans cette histoire ? Nintendo avait déjà prévu d’investir le secteur de la restauration, avec des projets officiels en préparation. Notre aventurier culinaire s’est donc retrouvé tel un Goomba face à Mario : écrasé par plus fort que lui.
Morale de l’histoire : quand on veut jouer au plus malin avec Nintendo, on finit souvent par perdre sa dernière vie. En attendant, si vous passez par le musée Nintendo d’Uji, contentez-vous du café officiel. Au moins, vous êtes sûr de ne pas vous retrouver dans une bataille juridique plus épique que le combat final de Legend of Zelda !
