Imaginez un peu la scène : vous êtes en train de profiter tranquillement de vos vacances en montagne, téléphone en mode avion, quand soudain vous apprenez que vous venez de décrocher… un prix Nobel ! C’est exactement ce qui est arrivé à Fred Ramsdell, immunologiste américain de 64 ans, qui a découvert sa prestigieuse récompense avec 12 heures de retard. Et franchement, ça me fait sourire cette histoire !
Un scientifique qui préfère les sommets aux smartphones
Lundi dernier, pendant que le comité Nobel, les journalistes du monde entier et probablement sa mère tentaient désespérément de le joindre, notre cher Fred terminait pépère sa randonnée de trois semaines dans le Montana, l’Idaho et le Wyoming. Son téléphone ? En mode avion, évidemment ! Parce que quand on part en montagne, on part vraiment, pas vrai ?
Le pauvre Thomas Perlmann, secrétaire général du comité Nobel, a dû se demander s’il n’avait pas composé le mauvais numéro. Imaginez sa tête quand il tombait sur la messagerie : "Bonjour, vous êtes bien chez Fred, futur prix Nobel de médecine, mais je suis actuellement en train d’admirer des marmottes. Laissez un message après le bip !"
L’épouse qui sauve la mise
Heureusement, sa femme était là pour sauver la situation ! 💪 C’est elle qui a découvert le pot aux roses quand son téléphone s’est mis à vibrer comme un marteau-piqueur dès qu’elle a capté un signal. Saturé de messages, le portable ! On imagine bien la tête qu’elle a dû faire en voyant défiler les notifications…
Fred a bien tenté de rappeler le comité Nobel dans la foulée, mais c’était déjà trop tard en Suède (décalage horaire oblige). Ils ont finalement réussi à se parler le mardi matin. J’aurais adoré être une petite souris pour entendre cette conversation !
Un million d’euros pour financer les prochaines randos
Notre randonneur de l’extrême partage ce prix Nobel de médecine avec l’Américaine Mary Brunkow et le Japonais Shimon Sakaguchi, pour leurs découvertes révolutionnaires sur le fonctionnement du système immunitaire. Pas mal pour quelqu’un qui "profitait de la vie" en montagne, comme l’avait sobrement commenté son laboratoire !
Le plus beau dans tout ça ? Fred va empocher près d’un million d’euros (11 millions de couronnes suédoises, pour être précise). De quoi financer quelques randonnées supplémentaires ! Comme il le dit lui-même au New York Times, il essaie de passer le plus de temps possible en montagne. Avec ce pactole, il va pouvoir s’offrir les plus beaux sentiers du monde !
Quand le football aussi joue avec nos yeux
Pendant que Fred découvrait son Nobel en retard, l’AJ Auxerre nous faisait une petite blague visuelle bien sympathique ! Lors de leur match contre Lens, les joueurs auxerrois arboraient un flocage… qui rapetissait ! 👀
Non, ce n’était pas une boulette de l’intendant (même si on a tous pensé ça au début), mais une opération de sensibilisation géniale pour la santé visuelle. Le flocage reproduisait l’échelle de Monoyer – vous savez, ce truc chez l’ophtalmo où on doit lire des lettres de plus en plus petites en se cachant un œil !
Cette initiative, menée avec Essilor et la LFP, était parfaitement pensée. Si vous avez galéré à lire "Sierralta" ou "Sinayoko" sur votre écran, c’est que vous savez maintenant quoi faire… Direction l’ophtalmo ! Les maillots ont ensuite été vendus aux enchères au profit de la fondation Horizon AJA. Malin, non ?
Chez BuzzDuSiecle.com, on adore ce genre d’histoires qui nous rappellent que même dans notre monde hyperconnecté, il y a encore des gens qui savent décrocher pour profiter de la vraie vie. Et quand en plus ça se termine par un prix Nobel découvert avec le sourire… c’est juste parfait ! 😊
Fred Ramsdell nous prouve qu’on peut être un génie de la science ET savoir prendre du recul. Reconnaissant et honoré par sa distinction, il a hâte de partager cette joie avec ses collègues. En attendant, pari tenu qu’il va retourner très vite en montagne pour fêter ça comme il se doit !