Chers lecteurs de BuzzDuSiecle.com, aujourd’hui je vais vous raconter une histoire insolite venue tout droit de la belle Bretagne ! Imaginez la scène : vous vous promenez tranquillement le long des quais de Locmalo à Port-Louis, profitant de l’air marin et des jolis paysages. Soudain, quelque chose attire votre regard sous un banc : un dentier abandonné ! Vous vous apprêtez à le ramasser quand, ô surprise, un goéland farceur surgit de nulle part et le chipe dans son bec avant de s’envoler avec son butin !
C’est exactement ce qui est arrivé à Jean-François Lavole, un habitant de Port-Louis, lors d’une promenade ce week-end. "Sur les quais, j’ai aperçu le dentier mais le goéland a été plus rapide que moi et l’a pris dans son bec pour me narguer…", raconte-t-il avec humour sur Facebook. "J’ai pas réussi à récupérer ce dentier égaré… Ce goéland a la dent dure et du caractère…"
Une histoire qui fait sourire
Et les internautes n’ont pas manqué de se gausser de cette mésaventure ! "Heureusement que l’expression c’est pas ‘quand les goélands auront des dents’…", s’esclaffe l’un d’entre eux, faisant référence au célèbre dicton breton. D’autres imaginent le goéland arborer fièrement son nouveau sourire éclatant de blancheur !
Bien que cocasse, cette anecdote n’est pas si surprenante que ça. Les goélands argentés, très présents en Bretagne, sont réputés pour leur comportement chapardeur et leur attrait pour les objets insolites. Intelligents et opportunistes, ils n’hésitent pas à s’approcher des humains pour dénicher de quoi se sustenter.
Des oiseaux marins citadins
En effet, ces oiseaux marins se sont parfaitement adaptés à la vie en ville. Ils observent nos comportements alimentaires et associent notre présence à une source potentielle de nourriture. Résultat : on les voit de plus en plus souvent déambuler dans les rues à la recherche de restes de pique-nique ou de sandwichs oubliés.
Alors, si vous croisez un goéland en balade, méfiez-vous ! Il pourrait bien convoiter votre en-cas ou, qui sait, votre prothèse dentaire dernier cri. Dans le doute, mieux vaut fixer l’oiseau droit dans les yeux : selon des études, cela les dissuaderait de passer à l’action. Mais franchement, qui n’a pas envie de croiser un de ces joyaux des côtes bretonnes au caractère bien trempé ?
Voilà une nouvelle preuve, s’il en fallait, que la nature nous réserve des surprises à chaque coin de rue ou de quai ! En attendant de découvrir la prochaine bourde d’un de ces volatiles malicieux, prenez soin de vos affaires si vous séjournez en Bretagne. À bon entendeur, salut !