13 octobre 2025
L'État français condamné à rembourser la console de jeux d'un détenu : quand la justice prend le gaming au sérieux !

L’État français condamné à rembourser la console de jeux d’un détenu : quand la justice prend le gaming au sérieux !

Mes chers lecteurs de BuzzDuSiecle.com, accrochez-vous bien parce que l’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui dépasse tout ce qu’on peut imaginer ! 🎮 Imaginez un peu : un détenu qui fait condamner l’État français à lui rembourser sa console de jeux vidéo… Et qui gagne ! Non, ce n’est pas une blague, c’est du 100% véridique et ça s’est passé en septembre dernier.

Quand un transfert de prison tourne au cauchemar de gamer

Remontons aux faits, parce que franchement, ils valent le détour ! Le 23 août 2022, notre protagoniste – appelons-le "Monsieur PlayStation" pour préserver son anonymité – est transféré du centre pénitentiaire de Châteaudun vers celui d’Orléans-Saran. Un déménagement comme un autre, me direz-vous ? Que nenni ! 😅

À son arrivée dans sa nouvelle "résidence", catastrophe : sa précieuse console de jeux vidéo ressemble davantage à un puzzle qu’à un appareil fonctionnel. Le disque dur ? Complètement HS. La manette ? Évaporée dans la nature ! Comme si elle avait décidé de prendre ses jambes à son cou pour échapper à la prison.

💡 Info Box : Les consoles en prison, c’est légal ?

Eh oui ! Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les détenus ont parfaitement le droit de posséder une console de jeux. Mais attention, pas n’importe comment :

  • ✅ Achat avec leurs propres deniers
  • ✅ Via un catalogue approuvé par le ministère de l’Intérieur
  • ❌ Pas de connexion Internet (désolé pour le multijoueur en ligne !)

David contre Goliath version manette cassée

Face à cette injustice vidéoludique, notre détenu ne s’est pas laissé faire. Il a décidé de porter l’affaire devant le tribunal administratif d’Orléans. Et là, plot twist digne d’un scénario de film : le 9 septembre dernier, la justice lui a donné raison ! 🎯

Le tribunal a estimé que l’administration pénitentiaire avait failli à son devoir de protection des biens personnels. Résultat des courses : l’État français est condamné à verser 200 euros d’indemnisation au détenu (même si ce dernier en réclamait 460 – on ne peut pas tout avoir dans la vie !).

📊 Tableau récapitulatif de l’affaire

ÉlémentDétails
Date du transfert23 août 2022
TrajetChâteaudun → Orléans-Saran
DégâtsDisque dur endommagé + manette disparue
Montant réclamé460 €
Montant accordé200 € + 1 200 € pour l’avocat
Date du jugement9 septembre 2024

L’administration se défend : "Un détenu occupé est un détenu tranquille"

Du côté de la Direction interrégionale des services pénitentiaires de Dijon (DISP), on ne rigole pas avec les loisirs en prison. Et pour cause ! Comme l’explique très sérieusement un responsable : "Un détenu occupé est souvent moins violent et pose moins de problèmes".

En gros, mieux vaut un prisonnier qui passe ses journées à sauver la princesse Peach plutôt qu’à chercher des noises dans les couloirs ! 🍄 C’est du management moderne, version pénitentiaire.

📢 À retenir : La prison, c’est une privation de liberté, pas de tous les droits !

Cette phrase, prononcée par un responsable pénitentiaire, résume parfaitement l’enjeu de cette affaire. Les détenus conservent certains droits fondamentaux, y compris celui de voir leurs biens personnels protégés. Même si ces biens incluent une manette de PlayStation !

Une jurisprudence qui fait date

Cette décision, aussi cocasse soit-elle, établit un précédent important. Elle rappelle que l’État a une obligation de moyens pour protéger les effets personnels des détenus, même les plus… inattendus !

Imaginez les conversations au ministère de la Justice : "Alors, aujourd’hui on a été condamnés pour… une console de jeux ?" 😂

L’affaire illustre parfaitement que la justice française ne fait pas de distinction entre un objet "sérieux" et un objet de divertissement quand il s’agit de protéger les droits des citoyens, même incarcérés.

Cette histoire rocambolesque nous rappelle qu’en 2024, même derrière les barreaux, les passions du XXIe siècle continuent de vivre. Et quand l’administration fait une boulette avec la console de quelqu’un, eh bien… elle assume ! Après tout, qui a dit que la justice n’avait pas le sens de l’humour ? 🎮⚖️

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *