par Mes chers lecteurs de BuzzDuSiècle.com, préparez-vous à découvrir l’initiative la plus insolite de l’année en matière d’incitation au vote ! Pascal Biscroma, un patron niçois qui gère l’entreprise de transport Courbaisse Transports à Saint-Blaise, a eu la brillante idée d’offrir une prime de 50 euros à chacun de ses 70 salariés qui iront voter aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains. Oui, vous avez bien lu !
Comme beaucoup d’entre nous, Pascal a été choqué par les taux d’abstention records lors des derniers scrutins. Avec un taux avoisinant les 60% dans sa circonscription en 2022, il était grand temps d’agir ! Et que fait ce patron complètement barré ? Il décide tout simplement de monnayer le sens civique de ses employés.
"C’est l’acte civique qui me motive, je n’ai aucune visée politique", a-t-il expliqué. Peu importe pour qui ils voteront, un vote blanc ou même nul, l’essentiel est qu’ils se déplacent aux urnes. Une carte d’électeur tamponnée, et hop, 50 balles dans la poche !
Vous imaginez la scène ? Le 8 juillet, une file d’employés tendant fièrement leur précieuse carte électorale, dans l’espoir de récolter leur dû. Un véritable marché aux votes légalisé !
Mais n’allez pas croire que Pascal fait ça pour des raisons politiques. Pour lui, c’est un hommage à "nos aînés qui se sont battus pour ce droit". Un geste symbolique qui, espérons-le, inspirera d’autres entreprises à suivre son exemple dingue.
Et puis, 50 euros, ce n’est pas rien ! Surtout pour certains salariés pour qui cette somme représente beaucoup. Un employé interrogé, Corentin, l’a d’ailleurs avoué cash : "Je vais aller voter parce qu’il y a la prime. Je ne m’intéresse pas du tout à la politique normalement."
Vous l’aurez compris, cette initiative farfelue a au moins le mérite de faire réagir et de secouer un peu l’abstentionnisme ambiant. Alors même si elle peut paraître choquante pour certains, reconnaissons qu’elle sort de l’ordinaire !
Reste à voir si cette pluie de primes incitera réellement les Français à se rendre aux urnes en nombre. Une chose est sûre, Pascal Biscroma aura au moins eu le mérite d’essayer, à sa manière un brin loufoque. Après tout, comme il le dit lui-même : "On a la chance de vivre dans une démocratie". Alors autant en profiter, non ?
