9 décembre 2024
Quand la campagne s'invite en ville : le renard de Saint-Priest fait des siennes !

Quand la campagne s’invite en ville : le renard de Saint-Priest fait des siennes !

Chers lecteurs de BuzzDuSiècle.com, préparez-vous à une histoire aussi insolite que croustillante ! La semaine dernière, une habitante de la cité Berliet à Saint-Priest, dans la métropole de Lyon, a eu la surprise de sa vie. En se levant un beau matin, elle est littéralement tombée nez à museau avec… un renard !

Le renard pas si farouche

Imaginez la scène : Sandrine, une brave dame de la banlieue lyonnaise, ouvre sa baie vitrée pour profiter des premières lueurs du jour. Mais au lieu d’un paysage bucolique, elle se retrouve face à un petit compère à la fourrure rousse et aux yeux malicieux. Un renard, rien que ça !

La première réaction de Sandrine ? "J’ai croisé son regard furtivement". Mais contrairement à ce qu’on pourrait croire, notre ami le goupil n’a pas pris ses petites pattes à son cou. Au contraire, il semblait on ne peut plus à l’aise dans ce décor urbain !

"Il ne semblait pas craintif du tout", raconte Sandrine. Et pour cause, le malin avait une bonne raison de traîner dans le coin.

Quand le renard pique les croquettes

Comme le révèle notre témoin, elle a l’habitude de laisser des croquettes pour les chats errants du quartier. Un véritable buffet à ciel ouvert pour les petites bouches affamées, y compris celles des renards !

"Souvent, ce sont des hérissons qui viennent se servir", explique Sandrine. Mais cette fois, c’est maître Renard qui a décidé de se faire plaisir. Et comme il n’est pas du genre à se gêner, il s’est tranquillement servi dans le plat, sous le regard ébahi de notre chère Sandrine.

Un nouveau résident au Parc de Parilly ?

Bien que surprenant, ce petit incident n’est peut-être pas si étonnant que ça. En effet, la cité Berliet est située à proximité immédiate du vaste Parc de Parilly, un écrin de verdure de 178 hectares. Un cadre idyllique qui pourrait bien abriter une petite colonie de renards en quête de tranquillité.

Alors, faut-il s’inquiéter de cette présence renardesque ? Pas vraiment, si l’on en croit les experts. Grâce à une large campagne de vaccination, la rage portée par les renards a quasiment disparu de l’Hexagone. De plus, ces petits prédateurs jouent un rôle essentiel dans l’équilibre de la biodiversité urbaine en régulant les populations de rongeurs.

Bien que surprenant au premier abord, l’épisode du renard de Saint-Priest n’est donc pas si alarmant. Mais n’oubliez pas, chers lecteurs : même si ces petites boules de poils peuvent sembler adorables, mieux vaut garder vos distances. Un renard reste un animal sauvage, et il ne faudrait pas froisser son caractère bien trempé !

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