Chers lecteurs de BuzzDuSiècle.com, aujourd’hui je vais vous raconter une histoire insolite qui s’est déroulée dans le petit village de Lunel, près de Montpellier. Notre héros, Max Brunel, un charmant nonagénaire de 90 ans, a reçu un courrier plutôt spécial du CHU de Montpellier. Installons-nous confortablement, cette histoire va vous en boucher un coin !
Le 3 avril dernier, Max Brunel récupère son courrier comme à son habitude. Mais une lettre attire particulièrement son attention. L’expéditeur ? Le service financier du CHU de Montpellier, où il avait été hospitalisé quelques mois plus tôt. Jusqu’ici rien d’anormal, me direz-vous. Mais lorsqu’il ouvre l’enveloppe, c’est la douche froide ! Selon cette lettre, notre cher Max serait décédé le 27 décembre 2023. En prime, on lui demande aimablement de bien vouloir venir récupérer ses "effets personnels ayant appartenu au défunt".
Vous imaginez la scène ? Max, tranquillement installé dans son fauteuil en train de lire qu’il est tout simplement… mort ! Le pauvre a dû se pincer plusieurs fois pour vérifier qu’il était bien en vie. "Pour un cadavre, je me porte plutôt bien !", a-t-il plaisanté auprès de nos confrères de Midi Libre.
Malgré ce couac administratif digne d’un sketch des Monty Python, Max a gardé son légendaire sens de l’humour. "J’ai trouvé que c’était un très bon poisson d’avril", a-t-il déclaré avec malice. Effectivement, cette bourde tombe à pic pour la fameuse journée des farces !
Mais au-delà de la blague, notre nonagénaire s’est vite inquiété des potentielles conséquences. Et s’il était déclaré mort auprès de sa banque, des impôts ou de la Sécu ? Un véritable casse-tête administratif en perspective ! Heureusement, l’erreur semble être restée cantonnée au CHU.
Pour éviter tout souci, Max a tout de même pris la plume pour signaler sa vivacité au service des finances de l’hôpital. Mais à l’heure où j’écris ces lignes, il n’a toujours pas reçu de réponse de leur part. Pas de panique Max, on vous croit sur parole !
Cette mésaventure rocambolesque montre à quel point les erreurs administratives, même anodines, peuvent virer au cauchemar. Imaginez recevoir une lettre vous annonçant votre propre décès ! Ça a de quoi faire tourner la tête à n’importe qui, même à un robuste nonagénaire comme Max.
En attendant, notre héros compte bien profiter de la vie, bien vivant. Qui sait, peut-être ira-t-il récupérer ses "effets personnels" au CHU, par pure plaisanterie ? L’important est d’en rire et de prendre cette histoire avec le recul qu’elle mérite. Après tout, comme dirait Max, "c’était un très bon poisson d’avril" !