Mes chers lecteurs de BuzzDuSiècle.com, préparez-vous à une histoire aussi insolite que croustillante ! Récemment, une enquête menée par la plateforme audio britannique Bloom Stories, spécialisée dans les musiques érotiques, a révélé que de nombreux jeunes Britanniques seraient prêts à faire un sacré sacrifice pour devenir propriétaires : renoncer aux rapports sexuels pendant un an en échange d’un prêt immobilier !
La Génération Z prête à tout pour un toit
Selon cette étude pour le moins surprenante, la moitié de la fameuse Génération Z, ces jeunes nés après 1997, serait disposée à mettre leur vie sexuelle en veilleuse pendant 365 jours si cela leur permettait d’obtenir un acompte pour acheter une maison. Imaginez un peu la scène : des milliers de jeunes Anglais, bouillants d’envie mais au porte-monnaie vide, acceptant de se priver de câlins pour décrocher les clés de leur propre appartement !
Mais ce n’est pas tout ! Environ un tiers de ces mêmes jeunes iraient même jusqu’à renoncer aux plaisirs de la chair en échange d’une simple augmentation de salaire. On se demande bien ce qui les motive le plus : l’argent ou le fait d’avoir enfin un toit au-dessus de la tête ?
Les vieux sages préfèrent le sexe
Contrairement à leurs cadets, les générations plus âgées semblent avoir d’autres priorités. Parmi les Britanniques de 45 ans et plus, un peu moins de la moitié choisirait d’avoir des relations sexuelles plutôt que d’acheter une maison. Après tout, quand on a déjà un pied dans la tombe, mieux vaut profiter de ce que la vie a à offrir, n’est-ce pas ?
Selon les experts, cette différence de mentalité s’expliquerait par le fait que les plus âgés ont généralement une meilleure situation financière et sont donc moins préoccupés par l’accès à la propriété. Ils peuvent se permettre de savourer les plaisirs de la chair sans se soucier des taux d’intérêt ou du prix des maisons.
Un acte de désespoir ?
Mais revenons à nos jeunes Britanniques prêts à tout pour devenir propriétaires. Selon Bloom Stories, "les temps désespérés appellent des mesures désespérées". Et il faut bien admettre que la situation est désespérante pour de nombreux jeunes à Londres, où il faudrait économiser pendant plus de 37 ans pour réunir l’acompte de 10% nécessaire à l’achat d’un appartement dans leur quartier.
Face à de telles difficultés, on comprend mieux pourquoi certains envisagent des solutions aussi extrêmes que de renoncer au sexe. Après tout, qu’est-ce qu’une petite année d’abstinence comparé au rêve d’avoir enfin un chez-soi ?
Bien que cette étude soit à prendre avec des pincettes, elle met en lumière les défis auxquels font face les jeunes générations pour accéder à la propriété. Et qui sait, peut-être qu’un jour, les banques proposeront réellement des "prêts chastes" à taux préférentiels pour les plus motivés d’entre eux ? En attendant, chers lecteurs, profitez bien de votre vie de célibataire… ou pas !