Mes chers lecteurs de BuzzDuSiècle.com, préparez-vous à une histoire aussi incroyable que captivante ! Imaginez un peu la scène : un voyageur lambda se présente à la douane chinoise, probablement stressé comme c’est souvent le cas. Mais ce qu’il cachait dans son pantalon allait faire tourner les têtes des douaniers les plus blasés !
Le 9 juillet dernier, les agents de la ville de Shenzhen, dans le sud de la Chine, ont intercepté un homme qui tentait de passer la frontière avec Hong Kong. Rien d’anormal jusque-là, me direz-vous. Sauf que notre ami avait choisi de voyager avec une compagnie pour le moins… reptilienne !
En effet, les douaniers ont découvert pas moins de 104 serpents vivants, soigneusement emballés dans des sacs en plastique et cachés dans les poches de son pantalon ! On se demande bien comment il a réussi à enfiler ce petit monde dans son froc. Un véritable serpent de mer !
Parmi cette ménagerie clandestine, on comptait des serpents ratiers du Texas, des couleuvres faux corail, des couleuvres à nez retroussé, des serpents des blés et des couleuvres taureaux. Un beau mélange de bestioles venues des États-Unis, pour la plupart inoffensives heureusement. Imaginez un peu si notre contrebandier s’était baladé avec un nid de crotales ou de mambas !
Mais pourquoi diable transporter autant de serpents dans son caleçon ? La raison est simple : quatre des cinq espèces présentes n’existent pas en Chine. Et comme le pays est l’une des principales plaques tournantes du trafic d’animaux au monde, les autorités ont décidé d’interdire l’introduction d’espèces étrangères pour protéger leur biosécurité.
Cet incident n’est malheureusement pas un cas isolé. En 2022, un Américain avait tenté de passer la douane avec 9 serpents et 43 lézards dans ses sacs. Et en avril dernier, un sac rempli de ces charmantes bestioles avait été découvert… dans le pantalon d’un passager à l’aéroport de Miami ! Décidément, les reptiles semblent avoir la côte dans les milieux de la contrebande.
Au-delà de l’aspect insolite, cette affaire soulève des questions de santé publique importantes. En effet, les serpents peuvent être porteurs de maladies zoonotiques graves, comme le virus du Nil occidental ou l’encéphalite équine. Sans parler des risques de morsures, d’infections et de blessures liés à la manipulation de ces animaux.
Alors la prochaine fois que vous passerez la douane, n’hésitez pas à déclarer vos compagnons à écailles ! Ça évitera bien des problèmes et des situations plus que gênantes. En attendant, je vous laisse imaginer la tête des douaniers lorsqu’ils ont vu ces centaines de petits serpents s’agiter dans les poches de notre ami. Une scène digne d’un film d’Indiana Jones !