Ah, les amis de BuzzDuSiecle.com, laissez-moi vous raconter une histoire qui va vous faire fondre plus vite qu’un Carambar au soleil ! Imaginez un peu : vous êtes tranquillement en train de trier vos tickets de Loto périmés quand soudain, vous recevez une lettre mystérieuse accompagnée d’un billet de 50 euros. Non, ce n’est pas votre tante Germaine qui vous envoie de l’argent de poche en retard, c’est bien plus savoureux que ça !
C’est exactement ce qui est arrivé à Alexandre Goncalves De Oliveira, le propriétaire du bureau de tabac "Le Provençal" à Uzès, dans le Gard. Et croyez-moi, ce n’est pas tous les jours qu’on reçoit du courrier plus doux qu’une lettre du Père Noël !
Un remords qui a mis du temps à mûrir
Dans cette lettre digne d’un épisode de "Cold Case : Affaires classées", version bonbons, un mystérieux expéditeur confesse avoir commis un crime atroce… il y a plusieurs décennies. Son forfait ? Avoir chapardé quelques sucreries quand il était bambin. Oui, vous avez bien lu : on parle d’un vol de bonbons datant de l’époque où Johnny Hallyday était encore un jeune premier !
Notre criminel repenti écrit : "Je vous écris afin de réparer une faute commise durant mon enfance. Lorsque j’étais petit garçon, j’ai volé des bonbons dans votre bureau de tabac Le Provençal." J’imagine la scène : un gamin avec un short trop court et des chaussettes remontées jusqu’aux genoux, qui glisse subrepticement quelques Fraises Tagada dans sa poche. Scandaleux !
Une amende sucrée
Pour se faire pardonner ce crime contre l’humanité (ou du moins contre la confiserie), notre Robin des Bois version Haribo a joint à sa lettre un billet de 50 euros. Cinquante euros pour quelques bonbons ! À ce prix-là, j’espère qu’il avait au moins volé des Ferrero Rocher !
Alexandre, notre buraliste, a d’abord cru à une blague. Il raconte : "Je contrôle le billet pour confirmer que c’est un vrai, et puis je me suis dit que c’était quelqu’un pris de remords." Eh oui, même les billets peuvent être des faux de nos jours. Heureusement, celui-ci était aussi authentique que le remords de notre voleur repenti.
Un geste qui fait du bien
Cette histoire a eu l’effet d’un Mentos dans un Coca : ça a pétillé dans tout Uzès ! Alexandre confie : "J’ai trouvé l’histoire jolie et sympa au vu de l’actualité : il a remis l’église au centre du village." Personnellement, j’aurais plutôt dit qu’il a remis la confiserie au centre du village, mais bon, chacun ses expressions !
Notre buraliste, grand prince, a décidé de partager le butin entre ses trois filles. J’espère qu’elles vont s’acheter des bonbons avec, histoire de boucler la boucle !
L’identité du coupable reste un mystère
Malheureusement, l’identité de ce Robin des Bonbons reste inconnue. Peut-être qu’il craint encore les foudres de la justice ? Ou alors, il a peur que sa maman ne le gronde s’il avoue son méfait, même 30 ans après ?
En tout cas, cette histoire nous rappelle qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire. Alors, si vous avez déjà piqué un Carambar ou deux dans votre jeunesse, il est peut-être temps d’envoyer un petit chèque à votre épicier du coin. Qui sait, vous ferez peut-être la une de BuzzDuSiecle.com !
Et vous, chers lecteurs, avez-vous déjà commis un crime aussi atroce que le vol de quelques bonbons ? Rassurez-vous, la prescription est de mise pour les délits de léchage intempestif de vitrine de pâtisserie ! N’hésitez pas à partager vos confessions sucrées dans les commentaires. Après tout, comme on dit, faute avouée est à moitié pardonnée… surtout si elle est accompagnée d’un billet de 50 euros !