Ah, les bonbons ! Ces délicieuses petites douceurs qui font briller les yeux des enfants (et parfois même des adultes, avouons-le). Mais qui n’a jamais été tenté, étant petit, de glisser discrètement une poignée de ces trésors sucrés dans sa poche ? Eh bien, figurez-vous qu’un homme a décidé de soulager sa conscience pour un larcin commis il y a bien longtemps. Et cette histoire a de quoi nous faire fondre !
Un courrier qui a du bon(bon)
C’est à Uzès, charmante bourgade du Gard réputée pour son musée du bonbon (coïncidence ? Je ne crois pas !), que cette histoire sucrée s’est déroulée. Alexandre Goncalves De Oliveira, patron du bar-tabac "Le Provençal", a eu la surprise de recevoir un courrier pour le moins insolite ce vendredi 13 septembre 2024.
Dans l’enveloppe, une lettre d’excuses anonyme et un billet de 50 euros. De quoi faire bugger notre brave buraliste ! "J’ai d’abord cru à une blague", confie-t-il à nos confrères de France Bleu. Mais non, le billet était bien réel, tout comme les remords de l’expéditeur.
Des excuses qui valent de l’or
Dans sa missive, l’homme explique avoir volé "une poignée de bonbons" dans le bureau de tabac lorsqu’il était enfant. Un crime impardonnable, me direz-vous ! Mais notre repenti a décidé de réparer sa faute, des années plus tard, en envoyant ce fameux billet de 50 euros "en guise de remboursement".
Permettez-moi de faire un rapide calcul : si l’on considère qu’une poignée de bonbons équivaut à environ 100 grammes, et qu’en moyenne le kilo de bonbons coûte 15 euros, notre voleur aurait dérobé pour… 1,50 euro de sucreries ! Autant dire que l’inflation a frappé fort, ou que la culpabilité a un sacré prix !
Un geste qui fait du bien au moral
Alexandre Goncalves De Oliveira, loin de crier au scandale, a apprécié ce geste inattendu. "Cette personne a remis l’église au milieu du village. Elle dort tranquille. Cela lui a fait du bien de m’envoyer 50 euros. Et moi, j’ai trouvé ce geste bienveillant", confie-t-il.
Dans un monde où les mauvaises nouvelles semblent parfois nous submerger, cette histoire a de quoi nous redonner foi en l’humanité. Comme quoi, il n’est jamais trop tard pour bien faire !
Un mystère qui reste entier
Reste maintenant à savoir qui se cache derrière cette lettre. Notre buraliste se demande s’il s’agit d’un client régulier ou d’un parfait inconnu. Le mystère reste entier, mais avouez que ça ajoute un peu de piquant à l’histoire !
En attendant de peut-être découvrir l’identité de ce Robin des Bois des bonbons, Alexandre a décidé de partager les 50 euros entre ses trois filles. Espérons qu’elles n’iront pas les dépenser en… bonbons !
Cette histoire insolite, digne des meilleures pages de BuzzDuSiecle.com, nous rappelle que la vie peut parfois être douce comme du sucre. Et vous, chers lecteurs, avez-vous déjà eu des remords pour un petit larcin commis dans votre jeunesse ? N’hésitez pas à nous raconter vos histoires sucrées-salées en commentaires !
En attendant, la prochaine fois que vous passerez devant un étal de bonbons, résistez à la tentation. Ou préparez-vous à envoyer un chèque dans 20 ans !