Ah, les réseaux sociaux! Ces merveilleux outils qui nous permettent de partager nos moments de gloire, nos selfies avec notre chat et… nos tickets de loterie gagnants? Eh bien, pour Drena Harris, une Américaine de l’Indiana, la joie de partager sa victoire à la loterie sur Facebook s’est transformée en une véritable tragédie à la sauce digitale.
La malchance post-partage
Imaginez un peu: vous grattez, vous gagnez, vous exultez! Drena a remporté la coquette somme de 500 dollars (environ 460 euros, une petite fortune qui équivaut à une centaine de baguettes tradition chez nous) à la loterie "Hoosier". Dans un élan de bonheur, elle publie une photo de son précieux sésame sur Facebook. Mais, ô désespoir, lorsqu’elle se rend pour récupérer son gain, la loterie lui annonce que le prix a déjà été réclamé. Sacrebleu!
Qui a volé le fromage de l’Américaine?
La question qui brûle toutes les lèvres: quel "ami" Facebook a bien pu lui faire ce coup tordu? Drena, désemparée, se lance dans une quête judiciaire pour récupérer son dû. Malheureusement, la justice, aussi aveugle soit-elle, ne peut pas rendre ce qui a déjà été donné. Et pour couronner le tout, le magasin où notre pauvre Drena avait acheté son ticket a mis la clé sous la porte. Pas de ticket, pas de chocolat!
"Nous ne pouvons payer deux fois"
Chuck Taylor, le directeur juridique de la loterie Hoosier, a dû déclarer avec regret que la loterie ne pouvait pas payer deux fois. Une règle aussi immuable que celle qui dit qu’on ne met pas de camembert dans une raclette. Drena, quant à elle, a appris une leçon précieuse : sur Internet, partager n’est pas toujours gagner.
En ces temps de partage compulsif, chez BuzzDuSiecle.com, on vous conseille de garder vos tickets de loterie au chaud, loin des regards indiscrets. Et si jamais vous gagnez le gros lot, pensez à nous inviter à la fête – on promet de ne pas prendre de photos!
Drena Harris, si vous nous lisez, on vous envoie tout notre soutien et un peu de notre humour français pour adoucir cette mésaventure. Et qui sait, peut-être que la chance vous sourira à nouveau, cette fois loin des objectifs et des écrans.