par Chers lecteurs de BuzzDuSiècle.com, préparez-vous pour une révélation fracassante ! Lors de son passage sur les ondes de RTL Matin le 9 septembre dernier, l’inénarrable Thomas Dutronc a lâché une petite bombe qui a fait s’étouffer les animateurs sur leur café matinal.
Alors qu’il était venu faire la promotion de son nouvel album "Il n’est jamais trop tard" (à découvrir dès ce vendredi 13 septembre dans les bacs !), notre rockeur préféré a dévoilé un petit secret bien gardé : pour entretenir sa passion dévorante pour la guitare, il se produit régulièrement dans des petits bars… sous un faux nom !
Un Zorro des scènes parisiennes
Imaginez la scène mes amis : Thomas Dutronc, le fils des légendaires Jacques Dutronc et Françoise Hardy, débarque incognito dans un modeste bistrot de la capitale pour y donner une prestation confidentielle. Un mystérieux guitariste masqué qui fait vibrer les âmes de quelques privilégiés, avant de s’éclipser dans la nuit…
On se croirait dans un film ! Quand Thomas Sotto et Amandine Bégot, les voix stupéfaites, ont tenté d’en savoir plus sur ce "faux nom" si bien gardé, l’artiste s’est fendu d’un rire malicieux : "Ah ben je ne peux pas le dire, sinon je suis grillé !". Le coquin !
Un besoin vital de retrouver les planches
Mais au-delà du côté rocambolesque de la chose, cette confession en dit long sur la passion dévorante qui anime Thomas Dutronc. À 51 ans, l’homme n’a rien perdu de son amour pour la scène et les vibrations de la guitare.
"Je n’ai jamais retiré ma casquette de guitariste, j’ai besoin de m’entraîner, de jouer, c’est un truc que je travaille depuis toujours", a-t-il expliqué sur les ondes. On se doute bien que les salles combles et les spotlights des grandes tournées ne doivent pas vraiment se prêter aux séances d’échauffement !
Alors le Zorro des bistrots parisiens remet le couvert, comme un gamin qui rejouerait les classiques du rock dans la cave des parents. Un moyen pour lui de retrouver l’essence même de la musique live, dans la simplicité d’un échange avec un public de quelques initiés.
Sur les traces de sa mère
On ne peut s’empêcher de voir dans cette démarche un clin d’œil à l’héritage de sa mère, l’immense Françoise Hardy, disparue en juin dernier. Une femme qui, selon les dires de son fils, "l’a toujours conseillé de faire ce qu’il aimait dans la vie".
Nul doute que de partager ainsi sa musique dans l’intimité de quelques bars tamisés, Thomas Dutronc honore la mémoire de celle qui l’a mis au monde. Une façon pour lui de renouer avec ses premières amours, avant que la célébrité ne vienne tout chambouler.
Alors, si d’aventure vous croisiez un guitariste aux allures familières dans les rues de la capitale, prenez bien soin de garder le secret ! Le mystérieux "Zorro" des bistrots parisiens compte sur votre discrétion. En attendant de pouvoir l’applaudir à nouveau sur les grandes scènes, savourons ce lien intime et chaleureux qu’il tisse avec ses fans les plus chanceux. Un bel hommage, aussi, à l’authenticité de sa passion pour la musique.
