Chers lecteurs de BuzzDuSiecle.com, préparez-vous pour une histoire aussi insolite que rocambolesque ! Après leur défaite vendredi soir à Aix-en-Provence, trois joueurs du SU Agen ont vécu une véritable épopée digne d’un film d’aventures.
Les malheureux élus
Santiago Socino, Jack Maunder et Henry Purdy, ces trois braves n’auraient jamais imaginé que leur soirée prendrait une telle tournure. Tout a commencé par un banal contrôle antidopage après le match. Rien d’inhabituel jusque-là, me direz-vous. Sauf que nos trois compères ont eu la pire des malchances : ils n’arrivaient tout simplement pas à… vous voyez ce que je veux dire.
Imaginez la scène : pendant que leurs coéquipiers savouraient une collation bien méritée avant de reprendre la route pour Agen, nos trois lascars étaient là, à ingurgiter des litres d’eau dans l’espoir de réussir ce fichu contrôle. Une véritable torture pour leur petite vessie !
Un bus sans retour
Mais le pire était à venir. À minuit, plus d’une heure après le coup de sifflet final, le bus du SU Agen a dû partir sans eux. Oui, vous avez bien lu ! Abandonnés à leur triste sort dans la ville d’Aix-en-Provence. À ce stade, je vous vois déjà compatir pour ces pauvres bougres.
Que faire dans une telle situation ? Nos trois mousquetaires ont dû faire preuve d’une sacrée dose de débrouillardise et de créativité. Socino, le premier à réussir l’épreuve, a convaincu un journaliste de lui prêter sa chambre d’hôtel pour pouvoir rentrer immédiatement à Agen retrouver sa femme malade. Un périple de plus de 500 kilomètres en pleine nuit, rien que ça !
Une odyssée digne d’Homère
Quant à Maunder, il a pu rester sur place grâce à la présence de sa chère et tendre. Mais pour Purdy, c’était une autre paire de manches. Épuisé par cette attente interminable, il a dû compter sur la générosité d’un autre journaliste pour l’héberger dans un hôtel avant de rentrer le lendemain.
Et que dire de l’intendant du club, Philippe Nepveux ? Cet homme a dû effectuer un aller-retour express Agen-Aix pour récupérer le camion et le matériel, laissés sur place dans la précipitation. Une véritable odyssée digne d’Homère !
La morale de l’histoire
Au final, cette mésaventure aura au moins eu le mérite de souder l’équipe dans l’adversité. Et qui sait, peut-être que cette expérience insolite leur portera chance pour la suite de la saison ? En attendant, retenons la leçon : buvez beaucoup d’eau avant un contrôle antidopage, on ne sait jamais !