16 octobre 2024
Quand le maire joue les Zorro pour un renard en détresse !

Quand le maire joue les Zorro pour un renard en détresse !

Grenoble, capitale des Alpes et… des renards en rade ! C’est une histoire qui pourrait commencer par "Il était une fois", mais qui s’est déroulée dans notre belle réalité, plus précisément dans les fortifications historiques de Grenoble. Oui, mes chers lecteurs, notre bon maire Éric Piolle, connu pour sa cape verte (écologiste, pas de super-héros, restons sérieux), s’est transformé en sauveur d’animaux le temps d’une visite officielle.

Un renard, un tube, une mission

Imaginez la scène : notre édile en pleine visite guidée, quand soudain, un renard, tel un patient égaré dans une salle d’attente, se pointe avec un tube en plastique en guise de collier. Pas très tendance pour un renard, vous en conviendrez. Le pauvre avait le museau coincé, et pas moyen de se défaire de cette parure importune.

Opération "Libérez les oreilles !"

Sur Instagram, où l’on partage d’habitude des photos de chatons et de plats bien présentés, on a pu voir notre maire, genoux au sol, en plein acte de bravoure. "C’est les oreilles qui coincent", a-t-il diagnostiqué, tel un vétérinaire de fortune. Et avec l’aide de sa délégation, qui pour l’occasion a troqué les dossiers pour une opération de sauvetage, ils ont réussi à libérer le renard de son accessoire malencontreux.

Un buzz à quatre pattes

La vidéo de l’exploit a fait le tour du web, récoltant likes et commentaires élogieux. "Bravo pour votre geste", s’exclame une internaute, tandis qu’un autre souligne l’importance d’être "polyvalent en tant que maire". Chez BuzzDuSiecle.com, on ne peut qu’applaudir cette polyvalence !

Un happy end à la grenobloise

Une fois libre, notre renard n’a pas attendu pour filer à l’anglaise (ou à la française, soyons chauvins). Il a disparu dans les couloirs sombres des fortifications, probablement pour rejoindre ses compères et raconter son aventure urbaine.

Voilà, chers lecteurs, une histoire qui finit bien, avec un maire qui ajoute une corde à son arc (ou plutôt une pince à son trousseau de clés). Et une petite pensée pour le renard, qui, on l’espère, a retenu la leçon : à Grenoble, on préfère les écharpes en laine aux tubes en plastique !

En tout cas, une chose est sûre : à Grenoble, les élus ne se contentent pas de gérer la cité, ils veillent aussi sur la faune locale. Et ça, c’est plutôt chouette, ou plutôt renard, non ?

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